Cité orientée - Sibel, 17 ans, future chercheuse en astrophysique ? - OnisepTV : l’information pour l’orientation en vidéo
Cité orientée - Sibel, 17 ans, future chercheuse en astrophysique ?
Parcours
Je m’appelle Sibel, j’ai 17 ans. J’habite à Montreuil. Je suis née à Paris mais j’ai toujours habité à Montreuil. Ma mère est mère au foyer et mon père ne travaille plus. J’ai la chance d’être bilingue et d’avoir une double culture. Je parle turc avec mes parents, je regarde la télé turque. Ceci m’apporte beaucoup de richesses sur ma culture, même sur mes copies de français. Après la seconde, je me suis orientée vers les sciences de l’ingénieur donc j’ai choisi une filière scientifique mais la filière sciences de l’ingénieur. Aujourd’hui, je suis en CPGE PCSI, c’est-à-dire Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles, filière PCSI, c’est-à-dire Physique Chimie Sciences de l’Ingénieur. J’étudie au Lycée Condorcet à Montreuil. Personnellement, j’aime bien la physique, les maths c’est intéressant mais c’est un peu dur. Quand je suis rentrée en prépa, ma mère était un peu choquée que je travaille autant. Elle m’a dit « mais je ne te vois pas à la maison, qu’est-ce-que tu fais ? », « je travaille ». Je rêve d’intégrer Polytechnique. Je sais que c’est un rêve qui n’est peut-être pas réalisable mais c’est mon rêve. La première fois que j’ai vu cette école, c’était lors du défilé du 14 juillet. C’est mon frère qui m’avait dit « regarde, c’est Polytechnique, la plus prestigieuse école où il y a les ingénieurs les plus réputés ». Après je me suis dit pourquoi pas ? J’aimerai bien savoir si un astrophysicien a une vie à côté de ses recherches parce qu’ils sont toujours focalisés pendant toute une journée à rechercher des nouvelles particules, des nouvelles connaissances sur la physique théoriques. Et j’aimerai bien savoir s’ils ont une vie sociale à côté avec leur famille, s’ils sont posés, calmes. Mon rêve, c’est d’être ingénieur dans une entreprise. Etre posée, avoir ma famille et être dans une entreprise plutôt réputée. J’insiste beaucoup, venez les filles vers la filière scientifique parce qu’on manque de filles en ce moment. Dans l’ingénierie, c’est très important aujourd’hui en France parce que beaucoup d’entreprises veulent recruter des filles ingénieur. Un métier qui m’apporte beaucoup au point de vue argent, tout le monde souhaite gagner de l’argent. Et tout ce qui est découverte de nouvelles connaissances, de nouvelles technologies, des bonnes choses pour la société, j’aime ça.
CLEMENT (Ami de Sibel)
Sibel rêve de Polytechnique mais c’est une école qui est très sélective. Je pense qu’elle sera plus dans l’objectif de viser Centrale Paris qui est une école tout aussi bien classée, peut-être moins réputée que Polytechnique. Centrale est une très bonne école, une des meilleures de France et elle pourra l’atteindre assez aisément si elle travaille, vu qu’elle a le niveau et qu’elle s’entraîne assez régulièrement. On est une petite bande. On est ensemble depuis quelques années. On s’entend très bien, on s’amuse. On reste soudé aussi bien en dehors des cours que pendant les cours. Ce qui lui permet de se différencier des autres, c’est qu’elle a des facilités mais elle travaille donc elle progresse beaucoup et c’est assez impressionnant. Ce n’est pas le même genre d’élève que moi. Ce qu’on aimerait faire plus tard, c’est un peu particulier parce qu’on est dans la même classe, notre but est d’atteindre une école d’ingénieur. Sibel veut se diriger vers une école d’ingénieur généraliste ou vers l’astrophysique. Ça tombe bien, moi aussi j’aimerai bien faire ça. C’est un métier qui fait rêver, on aimerait bien le faire et puis finalement ingénieur c’est un terme très global qui nous concerne tous même sans savoir ce que l’on va faire exactement.
MONSIEUR DJEDJICK (Professeur de S2I)
On ressent vraiment une très grande motivation donc c’est quelqu’un qui en veut. Elle veut absolument réussir et pas n’importe quel concours donc elle est très ambitieuse. Et puis, elle a aussi cet aspect maternel, sans exagérer, c’est le mot je pense puisqu’elle a tendance à s’occuper de ses camarades, d’être derrière eux pour les motiver à certain moment. Je ne pense pas qu’elle ait une idée très figée sur ce qu’elle souhaite faire, des domaines de l’ingénierie puisque ça l’intéresse, de la recherche, c’est typiquement le type de profil que je verrai bien dans les services de recherche et développement par exemple en tout cas en début de carrière, ensuite l’évolution fera que. Pour celui qui veut faire de l’astrophysique, c’est le domaine de la recherche qu’il faudra privilégier. Il y a quelques écoles d’ingénieur qui proposent des spécialités en troisième année donc à bac+5 pour découvrir ce domaine et ensuite poursuivre une thèse dans ce domaine-là. Je suis persuadé que même si étant femme, elle rencontrera des freins parce que c’est comme ça, c’est la vie, je pense qu’elle sera rebondir. Elle a vraiment le caractère pour.
INSTITUT D’ASTROPHYSIQUE SPATIALE, UNIVERSITE PARIS-SUD ORSAY
Bonjour Sibel. Bienvenue à l’Institut d’Astrophysique Spatiale. Ici, c’est un grand laboratoire français d’astrophysique où l’on fait à la fois de la recherche scientifique mais il y a aussi une grosse équipe d’ingénieur et de techniciens qui construisent des instruments qui vont aller sur des télescopes dans l’espace. Ici, ce qui est important de savoir, c’est que la station d’étalonnage de l’IAS, c’est un endroit unique en France et même en Europe. La plupart des instruments qui sont embarqués sur des satellites pour lesquels les français sont impliqués vont passer par ici pour être testés. Ce que tu vois devant toi, c’est l’énorme cuve qui s’appelle la cuve Jupiter. Une des cuve qu’il y a dans la pièce où l’on va à l’intérieur reproduire les conditions de l’espace donc on descend à moins 200 degrés à l’intérieur. On fait le vide pour avoir la même densité que dans l’espace et à l’intérieur on va aller placer tous les instruments que l’on a envie de tester, qui vont aller après sur le satellite. Vous faîtes le vide avant de mettre l’instrument ? Non, on met l’instrument d’abord et après on fait le vide. Ensuite, on va aller placer ce qu’on appelle le boytique, il y a des ouvertures, on envoie la lumière à l’intérieur. Vous ne regardez pas le comportement en phase de refroidissement ? Oui, on peut regarder aussi le comportement de l’instrument en phase de refroidissement. On peut faire de l’acquisition de données pendant la phase de refroidissement.
MARC-ANTOINE MILVILLE DESCHENES (Chercheur)
Pendant la journée, quel moment vous intéresse le plus dans votre travail ? Les moments les plus agréables dans la recherche, c’est quand on a l’impression de trouver quelque chose, c’est d’avancer et on se pose des questions pendant longtemps et à un moment il y a un déclic où on regarde les choses d’un œil différent et puis on se demande comment on a fait pour ne pas regarder la situation de cette façon-là avant. Ces moments-là sont très précieux. On les garde parce qu’on s’en sert après pour les moments plus difficiles où on traverse le désert. On n’a pas l’impression que l’on va trouver la solution. Par rapport à l’ingénieur astrophysicien, est-ce que vous avez le même salaire, les mêmes conditions de travail ? Les chercheurs au CNRS et les ingénieurs au CNRS ont des salaires à peu près similaires. Par rapport à un ingénieur dans le privé, un ingénieur au CNRS gagne moins d’argent. A côté de ça, le CNRS nous donne une liberté totale sur les sujets que l’on a envie d’aborder. On a une très grande liberté dans notre travail, on n’a pas de contrainte au niveau de l’enseignement, je fais de la recherche à temps plein, ce qui n’existe pas dans aucun autre pays. C’est pour ça que je suis très content de travailler au CNRS parce que j’ai cette liberté, je peux changer de laboratoire, si je veux aller travailler à Marseille, c’est possible parce que ce n’est pas ce laboratoire qui est mon employeur, c’est le CNRS. Je suis prêt à sacrifier un peu de mon salaire pour avoir accès à cette liberté. Est-ce que ça t’a surpris de voir autant de filles ici ? Oui. Astrophysicien et chercheur, ce n’est pas la même chose ? C’est la même chose. Un astrophysicien est un chercheur. Pour moi avant un chercheur c’était quelqu’un qui cherche quelque chose dans le ciel, s’enferme pour chercher, se consacre tout le temps au travail et quand j’ai vu les femmes, je me suis dit on peut devenir astrophysicienne en ayant une famille à côté. Avec cette réunion, je voulais que tu perçoives aussi que l’on travaille beaucoup ensemble. C’est vraiment très différent de l’image qu’on peut avoir des chercheurs. On imagine que les astrophysiciens ont la tête dans les étoiles mais en fait non. Pour être astrophysicien, est-ce qu’on est obligé de faire des études à l’étranger ? Les études à l’étranger, non. En général, les français font leur doctorat en France. Pendant les années de post-doctorat qui représentent 4 à 5 années à peu près, là, c’est presque toujours à l’étranger et c’est encouragé d’aller à l’étranger pour voir d’autres façons de faire, d’autres chercheurs parce que chaque laboratoire a sa façon de fonctionner. C’est très important d’aller voir autre chose.
Ça m’a beaucoup plu de venir ici, découvrir les astrophysiciens, de découvrir leur environnement de travail qui est tout à fait différent de ce que l’on pense. Ils ne sont pas isolés dans leur chambre en train de chercher des choses dans le ciel. Au contraire, ils sont très sociables. Ils travaillent avec plusieurs personnes et surtout l’aspect palpable de l’astrophysique qui était le salon d’étalonnage m’a beaucoup plu : les différentes mesures, les différentes expériences qui peuvent avoir lieu dans les cuves Jupiter. L’argent n’est pas un problème. Le plus intéressant est de faire ce que l’on veut et avoir plus de liberté. Par exemple Marc-Antoine a beaucoup de liberté. Et passer du temps avec sa famille qui est aussi un aspect important pour moi. J’ai pris des photos pour avoir des souvenirs d’ici et parce que ça m’intéressait beaucoup, les cuves, le refroidissement, l’aspect vraiment ingénieur astrophysique. Et j’ai montré à ma famille ce que j’ai fait, ce que j’ai découvert ici, à mes profs surtout à un prof qui adore l’astrophysique. Polytechnique reste mon but. Même si je n’ai pas Polytechnique, j’aurai au moins quelque chose qui me plaît donc je garde la barre haute pour avoir quelque chose qui me plaît à la fin.
Sibel, 17 ans, rêve d'entrer à Polytechnique et devenir chercheuse en astrophysique. La tête dans les étoiles, mais les pieds sur terre, elle est prête à travailler dur, pour atteindre son objectif.
Vidéo publiée en avril 2015
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