Transcription
Forcément, on peut devenir psychologue clinicien avec la licence de psycho. Mais déjà, le psychologue clinicien n'est pas forcément en cabinet. Il peut être aussi en hôpital, en institution spécialisée, en PMI, en crèche, ou en école. Mais c'est loin d'être le seul débouché. Il y a par exemple les ressources humaines. Il y a aussi tout ce qui est du côté de la recherche et de l'enseignement.
Une licence de psychologie vous amènera d'abord à un choix, c'est-à-dire que vous obtiendrez une licence qui vous permettra d'entrer en Master, qui là vous permettra d'obtenir le titre de psychologue à la fin du Master. On ne l'obtient pas à la fin de la licence.
Il y a des titres de psychologues qui sont beaucoup moins connus. Psychologue social par exemple, on peut travailler dans le monde du… on peut aller dans le monde du travail justement, psychologue du travail. Être chercheur, faire des expériences. Ou même devenir thérapeute, et ça peut n'avoir rien à voir justement. Je pense par exemple à l'art-thérapie.
Les psychologues finalement ont des missions relativement variées, ça dépend. Ça peut-être du côté d'une dimension plus thérapeutique, consultations, qui est assez classique, mais aussi du côté de la formation, du côté du travail dans les entreprises, il peut être chargé de mission, ce genre de choses. En effet, si on part dans l'idée de l'image justement un peu classique, on est psychologue du côté du consultant psychothérapeute, on va dire les choses comme ça. Au niveau des idées reçues, il y a aussi plusieurs situations qui les chassent, parce qu'en effet vous avez des psychologues qui peuvent ne pas souhaiter s'engager dans ce travail-là, rester pleinement psychologue et faire des choses qui peuvent paraître un peu décalées par rapport à la représentation habituelle qu'on a.
Je veux, pour bien faire, avoir un diplôme de psychologue clinicien, pour ensuite faire de la thérapie à base de méditation.
Moi, je ne sais pas du tout quel Master je vais faire pour le moment. Mais, ce que j'aimerais bien arriver à faire, c'est travailler avec des orthophonistes, vraiment dans un cadre où il y a une prise en charge du patient par l'orthophoniste et par le psychologue.
Je m'intéresse beaucoup à la clinique de l'enfant. Mais d'un côté stratégique, ce n'est peut-être pas la meilleure solution, parce qu'il y a énormément de diplômés en clinique pour assez peu, finalement, de postes. Le gros risque, c'est quand même l'insertion professionnelle qui est assez difficile. Du coup, je me projette pas mal dans les ressources humaines.
Moi, j'ai deux options. Soit je partirais sur un psychologue clinicien qui travaillerait dans des associations, dans le milieu associatif ; ou alors, je m'orienterais sur un psychologue social qui est une matière… pour moi, la psychologie sociale est un fondement de la psychologie.
Aller déjà jusqu'au bout de ma troisième année de licence, faire mon stage obligatoire de troisième année de licence dans une structure qui s'occupe des personnes âgées, idéalement, si j'arrive à trouver ça. Et ensuite, d'intégrer un Master de gérontologie.
Les étudiants ont une licence en trois ans, et ensuite postulent dans des masters, où leur dossier est étudié. Ils ont des dossiers à monter dans tous les masters qu'on étudie, pour les prendre ou non. Quand on arrive en troisième année, il faut se poser la question bien entendu de ses désirs, de ce qu'on a envie de faire, des masters dans lesquels on souhaite postuler, mais aussi bien réfléchir à d'éventuelles réorientations et des plans B, pour dire les choses un peu crûment comme ça, si éventuellement ça ne fonctionne pas.