Cité orientée - Alexandra, 24 ans, future pharmacienne ? - OnisepTV : l’information pour l’orientation en vidéo
Cité orientée - Alexandra, 24 ans, future pharmacienne ?
Parcours
Je m’appelle Alexandra, j’ai 24 ans et j’habite à Paris dans le 12ème. J’ai un petit frère de 21 ans. Mes parents sont médecins, ils sont stomato, médecin de la bouche. Le frère de ma mère est orthodontiste et le frère de mon père est anesthésiste. Mes parents ne nous ont jamais imposé de voie à suivre ou de domaine particulier comme étude ou comme métier. Ça rassure toujours les parents d’avoir un métier stable, c’est vrai que mes parents étaient plutôt contents que je choisisse pharmacie parce que c’est un métier qui paraît stable, il y a toujours du travail, ça gagne bien, on ne va pas se mentir. Je sais qu’en primaire, je voulais être prof de français. J’aimais bien la littérature, j’étais plus douée en français qu’en maths, mais il y avait moins de débouché. En seconde, je suis allée vers une 1ère S qui était plus large. En terminale, je me suis inscrite en pharmacie parce que je sais qu’ensuite il y a une filière industrie en pharmacie, on peut se spécialiser en cosmétologie. C’est pour cette raison que je me suis inscrite. Une fois que l’on passe le concours, on commence la deuxième année avec un stage de 6 semaines en pharmacie et finalement j’ai bien aimé. Je suis en sixième année de pharmacie à l’Université Paris Descartes dans Paris, dans le 5ème arrondissement, à côté du jardin du Luxembourg. Ce que j’aime bien dans ces études, c’est le fait d’avoir des cours magistraux dans des amphithéâtres et à côté de ça, on a beaucoup de TP. Par exemple, lorsque l’on a des cours de chimie organique et qu’on a les TP à côté, c’est un peu plus concret. Plus on passe les années, plus on choisit une spécialité. La pharmacie d’officine m’a intéressée donc pharmacien de ville parce que j’aimais bien le contact avec les gens et j’aimais bien le côté médical. Je trouvais ça plus chaleureux que de travailler à l’hôpital tous les jours. J’aimerai bien demander à un pharmacien, déjà comment on achète une officine, à quoi voit-on que c’est une bonne affaire lorsqu’une pharmacie est en vente et qu’on voudrait l’acheter ? Comment gérer tous les patients, les clients qui étaient habitués au titulaire qui était là depuis longtemps ? Comment a-t-il appris à dire non aux patients ? Est-ce qu’il n’a pas eu de problème à le faire dès le début ou est-ce que c’est venu au fil du temps ? Pas mal de pharmacie où l’on fait beaucoup de préparation nous-même, il peut y avoir un petit côté stressant en fonction de la préparation qu’on a à faire. Une fois, il m’avait donné à faire des comprimés-gélules pour un problème cardiaque d’un enfant de 10 ans et donc du coup j’ai refait dix fois les calculs. J’ai demandé à deux personnes différentes de vérifier parce que c’est tout de suite un peu plus stressant, il y a plus d’enjeu. La pharmacie qui serait super pour moi, ce serait une grande pharmacie moderne avec pas mal de gens qui travailleraient dedans. Développer un grand coin parapharmacie, je ne m’en occuperai pas. Une des valeurs qui est importante pour moi, c’est l’écoute. Etre à l’écoute des gens et de faire le maximum pour aider l’autre dans la mesure du possible. C’est vrai que c’est une des choses qui m’a attiré dans la pharmacie car c’est concret, je peux servir à quelque chose. Je peux aider les gens, je peux les conseiller. Ca égaie un petit peu la journée.
MICKAEL (Frère)
Je sais que depuis qu’elle a fait pharmacie, elle avait vraiment cette volonté car le concours est difficile. Elle l’a eu du deuxième coup. Pendant 2 ans, elle s’acharnait, elle travaillait du matin au soir. Elle ne dormait pas beaucoup. Je sais que ça lui plaît vraiment ce qu’elle fait, elle prend du plaisir. Je pense qu’elle pourra prendre du plaisir à diriger vu qu’elle adore ce qu’elle fait. Elle conseille bien, ce n’est pas pour vendre les médicaments qu’elle fait ça. Elle souhaite vraiment conseiller, aider les gens. Elle m’a toujours aidé quand j’avais des révisions, des textes à apprendre et du coup ce métier lui va bien. Ça me fait plaisir qu’elle fasse ça parce qu’elle s’épanouit bien et qu’elle est contente de ce qu’elle fait. C’est bien d’avoir une bonne passion dans la vie.
ANNE-JUDITH WALIGORA-DUPRIET (Professeur)
Alexandra a choisi la filière officine, ce qui semble bien correspondre à son caractère. C’est quelqu’un de dynamique, qui a un contact facile puisque c’est un métier où l’élément principal est finalement le contact avec le patient, avec les gens qui viennent dans l’officine chercher des conseils et chercher leur médicament. Le métier de pharmacien d’officine a beaucoup évolué. Il est très loin du métier d’il y a 50 ans où les pharmaciens préparaient beaucoup de médicaments à l’officine même et il est très important parce que le pharmacien aujourd’hui joue un rôle de conseil personnalisé et dans l’éducation thérapeutique extrêmement important. Donc Alexandra est actuellement en dernière année. Pour valider son diplôme de Docteur en pharmacie, elle doit rédiger et soutenir une thèse d’exercice. Elle a choisi de le faire dans le domaine de la bactériologie avec une bactérie qui touche le système digestif puisqu’elle travaille sur Helicobacter pylori. Sa thèse va lui permettre de démontrer ses qualités de synthèse mais aussi d’esprit critique, ce qui est une qualité essentielle du pharmacien qui devra tout au long de sa carrière, continuer à se former et à s’informer. Alexandra va certainement avoir une belle et jolie carrière dans cette filière.
BERNARD DAHAN (Pharmacien en officine)
J’aimerai bien savoir à quel moment on décide de s’installer, de s’associer et dans quel cas décide-t-on de s’associer, comment choisir l’associé ?
Il est vrai que le but de ces études, c’est de travailler pour soi parce qu’il y a un proverbe qui dit : « il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres ». C’est un proverbe qui existe, auquel je tiens, même si on peut monter un grand chez soi, c’est encore mieux. Ceci étant, il faut quand même un petit peu d’expérience professionnelle. Moi, je dirai à peu près 3 ans après les études. En tout cas, pour toi, te connaissant, ça fait 5 mois que tu es à la pharmacie, que tu fais ton stage, ça se passe très bien. Moi, je pense que pour toi, dans 6 mois tu pourrais t’installer. C’est mon avis personnel, c’est l’une des premières fois où je le dis. Après, il faut avoir les fonds et puis c’est vrai que pour une femme, je conseille l’association parce que c’est un métier dur. On est debout quasiment 12 heures par jour, 6 jours sur 7 en moyenne. C’est quand même des grosses journées de présence. C’est vrai que s’associer, c’est un petit moins rentable pour soi-même mais on a quand même une meilleure qualité de vie.
Je voulais savoir si vous avez l’impression que le médicament évolue, s’il y a de nouveaux médicaments qui sortent, si les anciens sont toujours là, s’il y a de vrais avantages ?
En 27 ans d’installation, je peux dire que la pharmacie a été révolutionnée au niveau de la sortie des nouvelles molécules. Il y a beaucoup de nouveaux médicaments qui sont sortis. Enormément, que ce soit pour les affections cardio-vasculaires, les traitements hypocholestérolémiant. Tous les médicaments d’une manière générale ont évolué, même l’antibiothérapie a évolué puisqu’on a eu des derniers macrolides qui ont maintenant 7-8 ans, ils sont relativement récents par rapport à ce qu’on a connu. Le Clamoxyl utilisé depuis 40 ans est toujours là parce qu’il est toujours aussi actif. Mais c’est plus un processus au niveau de l’évolution des traitements qu’a permis aussi l’évolution des molécules.
Je voulais savoir si le fait de dire non aux gens quand ils demandaient des produits sans ordonnance, c’était compliqué, ça s’apprend, ça vient dès le début, avec l’expérience ?
Ça vient à la fois dès le début, ça vient depuis l’université, ça vient tout le temps. C’est un feeling qu’il faut sentir. C’est une relation avec le patient que l’on découvre au fur et à mesure de la discussion. En fait, si on sait bien refuser, il s’en va content. On a tout un laïus explicatif disant qu’on ne peut pas délivrer pour des raisons de législation. En général, ça se passe très bien. Il y a quelques imperfections, mais c’est comme dans tous les métiers.
D’après vous, quelles sont les qualités qu’il est indispensable d’avoir pour être un bon pharmacien d’officine, pour être titulaire ?
Déjà, la première réponse, c’est d’avoir fait des études solides, d’avoir fait des études avec beaucoup d’intérêt surtout les 3 dernières années qui sont charnières pour l’officine. Avoir fait des bons stages, le premier stage, le stage de troisième année, le stage de quatrième année et enfin le stage où tu es actuellement. Il faut un petit peu se pousser, mais pour être un bon pharmacien, il faut être à l’écoute des patients, faut être agréable, souriant parce que malgré tout on a des malades toute la journée donc si on fait la gueule, ça peut être déprimant aussi et puis surtout la compétence. C’est la formation sur le tas et c’est aussi toutes les formations qu’on a. On a aujourd’hui le droit à la formation obligatoire pour les pharmaciens d’officine pour faire ce qu’on appelle mettre en conformité notre diplôme. Aujourd’hui, c’est mis en place, c’est très intéressant. Dernièrement, je suis allé à une formation sur les anti-vitamines K. On est quand même bien aidé pour être de bon pharmacien. A côté de ça, il faut avoir une force physique et psychique assez importante, surtout avoir de l’avenant. Faut être avenant au comptoir. On n’a pas le choix. C’est aussi un petit peu commercial, si on n’est trop carré, on est trop carré, si on n’est un petit peu souple ne serait-ce que dans l’attitude, ça suffit et dès fois ça passe. Faut sentir un petit peu les choses.
Ce qui m’a surpris dans cette pharmacie, c’est le rapport très chaleureux qu’ils ont avec la plupart de leur client ou de leur patient parce que la plupart les connaissent quand même assez bien et je pense que ça marche bien comme ça. Monsieur Dahan, le titulaire est quelqu’un de très sympa mais qui sait être ferme quand il faut aussi bien avec l’équipe qu’avec les patients qui viennent dans la pharmacie, c’est une qualité pour diriger sa pharmacie et diriger une équipe. Je pense que je serai une titulaire sympa, ce qui compte le plus au final, c’est qu’il y ait une bonne entente et une bonne harmonie dans l’équipe, c’est comme ça qu’on fait du bon travail après. Le bon moment pour ouvrir sa pharmacie, quand monsieur Dahan dit 2-3 ans, pour moi, ça me paraît très bien. Il m’a dit que j’étais capable au bout de 6 mois, ça me paraît beaucoup trop tôt parce que j’aurai à peine passé ma thèse. Mais 2-3 ans, je trouve ça très bien. Le temps de travailler un petit peu et d’acquérir de l’expérience, de l’argent pour ouvrir ma pharmacie.
Alexandra, 24 ans, sera pharmacienne dans quelques mois et envisage d'ouvrir sa propre officine. Le lieu, savoir si elle prend un associé ou pas' sont encore des points à éclaircir avent de se lancer.
Vidéo publiée en avril 2015
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