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Ma vocation scientifique est née de ma fascination pour les nombres, et pour beaucoup de mathématiciens célèbres. Il y a un certain mystère que l'on aime bien percer.
Je veux comprendre le mécanisme, et je veux comprendre comment ça se passe, et c'est cette curiosité qui me pousse à faire de la recherche.
La carrière scientifique répondait bien à mes aspirations d'inventer des méthodes pour résoudre des problèmes.
A long terme, des scientifiques feront le pas entre mes études sur la mouche et un cancer, ou une maladie, la surdité par exemple.
La recherche, c'est faire des choses que personne n'a jamais faites auparavant, donc on est en peu en terrain vierge.
Enfant, j'étais très intéressée par les livres qui expliquaient les phénomènes qu'on rencontre dans la nature tels que les orages ou comment se forment les nuages.
Je me suis révélé à la recherche plus sur mon côté intuitif et ma connaissance de la chimie que sur mon côté très pointu mathématique ou abstrait.
Le jour où j'ai eu le déclic, c'était en maîtrise, quand j'ai visité un laboratoire de recherche et que j'ai écouté un chercheur raconter son thème de recherche.
